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Documentation
Lieu de conservation des archives des ministères chargés des affaires militaires depuis l'origine, le service historique de la défense (SHD) dispose en outre d’une bibliothèque spécialisée parmi les plus riches de France. Il est également chargé d’homologuer, de répertorier et de rassembler les éléments de la symbolique militaire (emblèmes et insignes) et de contribuer aux travaux relatifs à l’histoire de la défense.
Ressources documentaires de premier ordre, ses collections (450 km d’archives remontant au XVIIe siècle, près d’un million d’ouvrages), représentent une part de la mémoire de la nation que les archivistes, les bibliothécaires, les historiens, les personnels scientifiques et techniques du SHD s’emploient à conserver, transmettre et partager. Elles appartiennent à tous les Français.
Créé le 1er janvier 2005 par regroupement des anciens services historiques d'armées, le service historique de la défense est rattaché à la direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA), l'une des directions du secrétariat général pour l'administration (SGA) du ministère de la défense.
Il se compose de trois centres : le centre historique des archives (implanté à Vincennes, Cherbourg, Brest, Lorient, Rochefort, Toulon, Caen, Le Blanc), le centre des archives de l’armement et du personnel civil (implanté à Châtellerault), et le centre des archives du personnel militaire (implanté à Pau).
Le site des Archives nationales d’Outre-Mer est bien fait et facile à utiliser. Il faut impérativement le consulter avant de se rendre aux archives pour éviter de perdre du temps. En
particulier, il est possible de consulter le règlement et de télécharger une fiche d’inscription.
J’ai récupéré ci-dessous, les fiches d’information concernant le contenu des fonds de ces archives, qui sont d’une grande richesse. N’hésitez pas à me signaler des erreurs ou des oublis
Jean-Louis Ballais
L’Université Jean Moulin Lyon 3 et OpenEdition s’engagent dans un partenariat pour le développement d’une pépinière de revues au service de la science ouverte.
Les Directives volontaires pour une gestion durable des sols ont été élaborées dans le cadre d’un processus ouvert, au sein du Partenariat mondial sur les sols. Elles visent à servir de référence et à fournir à un vaste éventail de parties prenantes engagées des recommandations générales d’ordre technique et stratégique concernant la gestion durable des sols. Elles ont été adoptées par l’Assemblée plénière du Partenariat mondial sur les sols à sa quatrième session (Rome, 25 mai 2016), approuvée s par le Comité de l’agriculture de la FAO à sa 25ème session (Rome, 28 septembre 2016) et enfin, entérinées par le Conseil de la FAO à sa 155ème session (Rome, 5 décembre 2016).
Ce commentaire met en évidence les problèmes d’iniquité dans l’édition universitaire en géographie qui découlent de l’utilisation croissante de mesures de la qualité de la recherche. Ce faisant, nous examinons les tendances dans le classement des revues géographiques dans les principales bases de données mondiales (p. ex., Web of Science, Scopus) et les comparons à une base de données plus inclusive élaborée par l’Union géographique internationale. Les insuffisances des systèmes de classement sont examinées et sont présentées comme entre autres, le biais linguistique, le manque de représentation des livres et des chapitres dans les livres, l’inégalité géographique de revues accréditées, les problèmes des multi-auteurs, l’inadéquation entre le classement et l’utilité sociale et la pensée alternative ou critique, ainsi que les différences entre la géographie physique et humaine.
L'hégémonie des maisons d’édition commerciales se révèle problématique particulièrement sur le aspects géographiques. Il est soutenu que la communauté globale des géographes devrait continuer à remettre en question l’utilisation de la bibliométrie comme moyen d’évaluer la qualité de la recherche.